Enfin
Tuons nos mémoires
Bien trop affaiblies
Que nous puissions choir
Ensemble sur le même lit
Ecoutions le silence
Le silence nous pourrions
Entre nous impossible
Synonyme, syndrome de pardon
Ressentir chacun
La puissance de notre nous
Laissant mourir de faim enfin
Tous nos espoirs et tous nos doutes
Alors, comment te dire ?
Exproprions l’adulte
Nos luttes rejoignons
Nos attaches une voile
« Allez viens nous partons »
Alors viens, crions
A travers les cloisons
Que ces boitiers, ces murs
Sont nos amours…nos prisons
[pré-refrain]
Je regarde le plafond
Tous mes sens frémissent
Je ne crois pas au profond
Je crois au fond
[Refrain]
Est-ce que tu vois ? Est-ce que crois ?
Je suis là , devant toi
Prends ma main, tiens la bien
Abandonne-toi
Entre tes bras, tes yeux fixent
Le néant du chemin
Entre tes yeux
Le silence d’un enfin
La goutte ruisselle
Le poster aussi
Le clan du réel
Bien-sûr endormi
La goutte devient larme
Son chemin poursuit
Et si l’horizon devenait
L’égalité si meurtrie
Toi sauvage si sauvagé
La reddition pour avenir
Ne regarde plus l’adulte d’hier
Regarde ton monde s’enfuir
Le degré. pas pour moi
Non, jamais la mesure
Même si fêlé ne sourit pas
Quand jeté aux ordures
L’eau a coulé sous les flots
Le tempano s’écroule
Le son existe trop vite
Et je me méfie des mots
..et je me méfie des mots
[pré-refrain]
La chaleur de tes doigts
Et tu disparais
Et je glisse devant toi
Je m’en vais
[Refrain]
Est-ce que tu vois ? Est-ce que crois ?
Je suis là , devant toi
Prends ma main, tiens la bien
Abandonne-moi
Entre tes bras, tes yeux fixent
Le néant du chemin
Entre tes yeux
Le silence d’un corps froid